EMMA PETERS

Emma Peters a 24 ans et elle chante ce qu’elle vit. En 2016, elle crée sa chaine YouTube, poste une vidéo en famille. Apprend tout, toute seule, avec des tutos. Elle commence à poster une de ses covers le dimanche. D’abord « Clandestina », puis « Trop beau. » Mille vues, dix mille, cent mille… Depuis la chambre à échos d’Internet aux dimensions infinies : on télécharge, on like, on follow, on découvre Emma Peters. Le remix de sa cover de Clandestina en est à 40 millions de streams sur Spotify.

Depuis quelques mois, Emma écrit et compose. Elle ne veut plus se cacher derrière les paroles d’un autre. Mais dire tout haut ce qu’elle a tout au fond. Avec la même force simple et directe qui a fait le succès de ses reprises. La voix d’une jeune fille qui se raconte. Elle aime toujours autant le dimanche, ce jour qui lui porte chance. Raconte ses nuits, ses folies, ses peurs, ses peines de cœur. Du réel pris à la jeunesse d’aujourd’hui.   

KEMMLER  

Rappeur né à Marseille, Kemmler se livre dans ses textes sur sa vie et ses histoires gorgées d’amour, de peur, de frustration et de couleurs. Ici, la vie n’est ni fantasmée ni travestie, elle explose dans toute sa diversité et ses paradoxes, c’est l’éternel combat pour y croire encore, pour respirer encore. C’est la confirmation d’un talent sauvage, l’histoire d’un mec normal qui a su dépasser ses propres limites, ses propres monstres intérieurs. Kemmler a enchaîné les titres jusqu’à son premier album « Rose » pour encore mieux les ficeler dans un album évolutif en trois temps : « Gris Cœur » regroupant des titres emblématiques tels que « Ça me gêne », ou « Mon bébé ». Si les doutes sont immortels, sa passion l’est aussi et le pousse à avancer coûte que coûte, à s’adapter dans le temps. Actuellement en préparation de son 3^e album que l’on attend impatiemment, Kemmler vient au Douze prouver que sur scène également, il est un rappeur « Différent ».

SALLY

Après avoir exploré un terrain très acoustique, Sally s’est dirigée vers une musique plus singulière, un R’n’B coloré de trap ou de soul, synthétique ou organique. Amateurs d’easy listening, passez votre chemin ! Sally n’oublie pas pour autant la force des mélodies. Ce sont elles qui nourrissent ses textes, très personnels, où elle raconte « l’amour, la dépression, les déceptions... sa vie ! », la vie de tous. « Pyaar » (amour en hindi) son premier EP est un récit de sincérité. Il s’ouvre sur « JFLA », hymne d’indépendance féminin qui assume sa peur de l’engagement, se poursuit avec « Puisqu’il faut », récit d’un échec amoureux, puis « Corps à Corps » qui explore le désir et se conclut avec « Vrille » ou la difficulté à se détacher d’une personne toxique. D’après Sally, la femme doit s’imposer en amour comme au quotidien. Ainsi, elle ne compte pas dissimuler sa bipolarité, et en fait même une force. Le 15 Avril prochain, elle sera sur scène pour nous présenter son nouveau projet. Nul doute qu’il remue encore un peu plus.